Caprins : « Le bien-être animal est subjectif »
A Taillebourg, à la ferme de Liberneuil (17), Alexis Barbé est un fervent partisan du bien-être animal pour sa centaine de chèvres poitevines. L’observation, la formation, les échanges lui permettent de progresser dans ses pratiques, sans omettre son bien-être.
A Taillebourg, à la ferme de Liberneuil (17), Alexis Barbé est un fervent partisan du bien-être animal pour sa centaine de chèvres poitevines. L’observation, la formation, les échanges lui permettent de progresser dans ses pratiques, sans omettre son bien-être.
Installé depuis 2017, à Taillebourg (17), Alexis Barbé, qui élève en bio une centaine de chèvres poitevines, a le bien-être animal chevillé au corps. Et cela commence, selon lui, par un temps au pâturage important. « Mon objectif est de passer de 4 mois actuellement à 7-8 mois par an ». Il a mis en place le pâturage tournant, une technique qu’il a connu lorsqu’il était ouvrier agricole, pour que les chèvres soient toujours sur des parcelles propres. Installé avec sa femme, il s’appuie sur les conseils de Théophane Soulard, le technicien caprin de Seenovia. « Son appui, ses préconisations ont de l’importance », souligne-t-il.