Circuits courts
Commercialisation de la viande : vers plus de vente directe et digitale
Après s’être essayés à la commercialisation de leur viande bovine en direct, Jérôme Grellier, de Natura Bœuf, ou encore les associés du Gaec Villeneuve, sont passés à l’échelle supérieure. Leurs stratégies de développement mêlent internet et proximité.
Après s’être essayés à la commercialisation de leur viande bovine en direct, Jérôme Grellier, de Natura Bœuf, ou encore les associés du Gaec Villeneuve, sont passés à l’échelle supérieure. Leurs stratégies de développement mêlent internet et proximité.
Entre la recherche d’une meilleure valorisation et l’appel du pied des consommateurs, beaucoup d’éleveurs ont sauté le pas de la vente directe. Pour certains, comme Jérôme Grellier, exploitant à Saint-Varent, le circuit court est devenu le mode de commercialisation exclusif de l’atelier bovin. « J’ai commencé à vendre quelques colis en 2012, pour améliorer mes marges dans un contexte post vache folle plutôt en berne. À cette époque, j’engraissais 600 bovins à l’année, qui partaient sur Rungis. Beaucoup de travail pour une rentabilité limitée ».