Diversification
Fermes-auberges, le défi de la double casquette
Si les fermes auberges sont devenues de réelles vitrines du travail des agriculteurs et sont vectrices d'un nouvel apport financier, maintenir leur attractivité n'est pas toujours chose simple.
Si les fermes auberges sont devenues de réelles vitrines du travail des agriculteurs et sont vectrices d'un nouvel apport financier, maintenir leur attractivité n'est pas toujours chose simple.
"Les gens aperçoivent depuis l'auberge les légumes qu'ils s'apprêtent à manger ". Le décor est planté. Katherine Geraci gère la ferme-auberge de Cuzieu aux côtés de son mari et de sa fille à Arvière-en-Valromey (Ain). Le couple accueille les voyageurs au cœur d'une exploitation de 80 ha et 60 animaux : vaches allaitantes, quelques vaches laitières, des veaux ou encore des cochons, les gérants produisent la quasi-totalité des produits proposés directement dans leur auberge, y compris légumes et céréales
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