La tuberculose bovine dans le viseur
Vigilance accrue, renforts vétérinaires et études complémentaires sur les blaireaux dans les territoires où la tuberculose s’est déclarée : les services de l’Etat sont plus que jamais mobilisés pour trouver l’origine de la maladie.
Vigilance accrue, renforts vétérinaires et études complémentaires sur les blaireaux dans les territoires où la tuberculose s’est déclarée : les services de l’Etat sont plus que jamais mobilisés pour trouver l’origine de la maladie.
La session de la Chambre d’agriculture du 17 février a permis de faire un point d’actualité sur la question de la tuberculose bovine en Charente. « Nous avons déclaré un deuxième foyer dans le département en début d'année. Nous sommes dans l’attente de la confirmation, par le laboratoire national, d’un probable troisième cas. Nous avons encore quelques suspicions en cours sans de signaux particulièrement mauvais », a résumé Franck Martin, Directeur départemental adjoint de l'emploi, du travail, des solidarités et de la protection des populations (DDETSPP). Il note qu'au niveau départemental, le taux de déclaration reste faible. « Ce n'est pas forcément significatif. Nous n'avons pas une image très claire de la situation sanitaire du département, notamment dans le sud, tempère Franck Martin. Ce qui est rassurant, c'est que nos foyers 2022 sont dans le périmètre des foyers de 2021.