Le travail génétique en soutien du développement des chèvres poitevines
L’association pour la défense et le développement de la chèvre poitevine œuvre depuis plus de trente ans à la sauvegarde de la race. Elle a accompagné le Gaec Il était une ferme, à Caunay, qui s’est lancé cette année dans l’insémination pour amener de l’originalité à son troupeau. Une visite est prévue chez eux le mardi 23 novembre dans le cadre de Capr’Inov.
L’association pour la défense et le développement de la chèvre poitevine œuvre depuis plus de trente ans à la sauvegarde de la race. Elle a accompagné le Gaec Il était une ferme, à Caunay, qui s’est lancé cette année dans l’insémination pour amener de l’originalité à son troupeau. Une visite est prévue chez eux le mardi 23 novembre dans le cadre de Capr’Inov.
En passant de 600 chèvres en 1986 à 5000 à l’heure actuelle, le travail de sauvegarde de l’association pour la défense et le développement de la chèvre poitevine (ADDCP) porte ses fruits. Les travaux réalisés sur la génétique et l’accompagnement de la structure dans le choix d’accouplement et la recherche de consanguinité ont permis de conserver une race pure auprès de la centaine d’éleveurs professionnels et la soixantaine d’amateurs qui composent l’association.