Réserves de substitution
Les acteurs du monde agricole réagissent contre les dégradations
Trois blessés chez les gendarmes, un outil de travail dégradé… L’opposition au projet des réserves de substitution a pris une tournure radicale, le 6 novembre dernier, sur les communes de Mauzé-sur-le-Mignon et Cramchaban (17). Appelant à « un retour rapide au calme », le préfet des Deux-Sèvres a condamné ce recours à la violence. Les syndicats Fnsea 79 et les Jeunes agriculteurs des Deux-Sèvres attendent maintenant « la plus grande sévérité dans la condamnation de ces actes » par les autorités.
De son côté, le négoce agricole Centre Atlantique (Naca) a voulu « sortir de sa réserve » pour apporter le soutien des négociants agricoles au projet porté par la société coopérative de l’eau.
Le président de la région Nouvelle-Aquitaine, Alain Rousset, a rappelé la dimension légale du projet dans un communiqué :