PSE : opportunité (manquée) pour les agriculteurs?
Dans le cadre du programme Re-Sources, Grand Poitiers a candidaté, et été retenue, pour expérimenter le dispositif des paiements pour services environnementaux (PSE). Les agriculteurs sont rémunérés pour leur engagement dans la préservation de la qualité de l’eau. Entretien avec Fredy Poirier, vice-président à l’agriculture et Laurent Lucaud, vice-président chargé de l’eau.
Dans le cadre du programme Re-Sources, Grand Poitiers a candidaté, et été retenue, pour expérimenter le dispositif des paiements pour services environnementaux (PSE). Les agriculteurs sont rémunérés pour leur engagement dans la préservation de la qualité de l’eau. Entretien avec Fredy Poirier, vice-président à l’agriculture et Laurent Lucaud, vice-président chargé de l’eau.
Quel est le contexte de cette expérimentation des paiements pour services environnementaux ?
Laurent Lucaud : L’Agence de l’eau est à la manœuvre sur cette démarche. Grand Poitiers et Eaux de Vienne ont répondu à un appel à projets pour participer à l’expérimentation. Nous avons la nécessité de sécuriser les réserves d’eau brute sur la problématique de la qualité et du bon état écologique de la ressource. Ici, nous avons ciblé le bassin le plus fragile et le plus stratégique aussi: celui de Fleury.
Comment va se dérouler l’expérimentation?