Irrigation, un marché qui bouge
L’irrigation est en tension. Le marché doit faire face à la fois à l’apparition de nouveaux besoins mais également aux délais de livraison du matériel, dus à la crise du covid et aux spéculations sur les matières premières.
L’irrigation est en tension. Le marché doit faire face à la fois à l’apparition de nouveaux besoins mais également aux délais de livraison du matériel, dus à la crise du covid et aux spéculations sur les matières premières.
Entre la crise Covid et les changements d’habitude de certaines productions, le marché du matériel d’irrigation évolue, doucement mais régulièrement. À Vouharte, Jean-Jacques Ducouret est l’un des derniers, si ce n’est le dernier, à faire exclusivement du matériel à destination des irrigants en Charente. « Nous faisons le plus gros de notre chiffre toujours sur le tuyau enrouleur. Nous développons depuis quelques années une grosse activité de microdispersion en goutte à goutte. Nous travaillons sur les truffiers, les noisetiers et la vigne. »