Marque
La marque a un impact sur le prix et le travail de l’éleveur
Au sein de la coopérative Agrial, Jean-Michel Esnault, comme une vingtaine d’autres de ses collègues du Poitou, des Charentes et de Normandie, s’est engagé dans le groupe de travail qui a donné naissance à la marque Grand Fermage.
Au sein de la coopérative Agrial, Jean-Michel Esnault, comme une vingtaine d’autres de ses collègues du Poitou, des Charentes et de Normandie, s’est engagé dans le groupe de travail qui a donné naissance à la marque Grand Fermage.
Sur un fond rouge, la marque Grand Fermage arbore fièrement le drapeau tricolore et les annotations « laiteries françaises » et (surtout) « coopérative de fermiers engagés ». Des fermiers engagés comme Jean-Michel Esnault, qui élève 65 vaches laitières à Coussay-les-Bois (Vienne) sur 140 ha : 95 ha d’herbes, 20 ha de blé, 20 ha de maïs et depuis quelques années 2 ha de betteraves fourragères pour du pâturage direct.
Travailler sur la marque, travailler pour demain
À l’instar de la marque Soignon en lait de chèvre, Grand Fermage c’est le beurre, y compris des beurres spéciaux (AOP, Sel de mer) et, depuis peu, du fromage pané et « encore de beaux projets en perspective pour l’année 2021, fabriqués toujours en local, à Dangé-Saint-Romain », promet François Brescia, responsable production laitière à la coopérative Agrial.
Tout semble mis en œuvre aujourd’hui pour fédérer les acteurs autour de cette marque Grand Fermage.