Le chevreau à l’épreuve des papilles des consommateurs
Afin de faciliter l’achat de viande de chevreau, l’Institut de l’élevage mène actuellement un travil sur les possibilités de découpe. C’est dans ce cadre qu’une enquête auprès des consommateurs s’est déroulée cette semaine à Melle et à Potiers.
Afin de faciliter l’achat de viande de chevreau, l’Institut de l’élevage mène actuellement un travil sur les possibilités de découpe. C’est dans ce cadre qu’une enquête auprès des consommateurs s’est déroulée cette semaine à Melle et à Potiers.
«Je n’ai jamais acheté de chevreau... sûrement par manque d’habitude », lance Anne Leboeuf. En ressortant mercredi après-midi du centre de conférences de Poitiers, cette habitante de la capitale poitevine avouait son envie de se mettre à cuisiner cette viande. Avec une vingtaine d’autres consommateurs, elle a goûté quatre morceaux différents de chevreau, puis jugé ce qu’elle venait de déguster, mais aussi la découpe et la présentation d’un morceau cuit.
Dans le box d’à côté, Christian Gropéron avoue, lui, qu’il n’avait pas apprécié la première fois qu’il avait goûté du chevreau. « C’est un produit différent. Je pense qu’il faut trouver un équilibre entre le goût du chevreau et ce qui l’accompagne ». Et ce qui lui a plu lors de la dégustation, ce sont les morceaux de sauté. Des morceaux rapides à cuisiner, mais quasiment inexistants sur le marché.