Caprins
L’alimentation, un levier dans l’adaptation au changement climatique
Pour réduire les achats extérieurs et être moins dépendants des aléas climatiques, diversifier son assolement et mieux valoriser ses fourrages sont des pistes à suivre pour les éleveurs caprins. Un point était fait sur le sujet lors du colloque caprin, le 9 janvier.
Pour réduire les achats extérieurs et être moins dépendants des aléas climatiques, diversifier son assolement et mieux valoriser ses fourrages sont des pistes à suivre pour les éleveurs caprins. Un point était fait sur le sujet lors du colloque caprin, le 9 janvier.
Récolter ses fourrages en mai, suivi de plusieurs coupes, est un modèle qui semble s’amenuiser, au fil du décalage des saisons. « Cette année, on se dirige plutôt vers une première très grosse coupe, ce qui va amener des contraintes de séchage », estime Damien Poisbleau, conseiller élevage chez Eilyps, qui est intervenu à l’occasion du colloque caprin du 9 janvier à L’Absie. Si les fourrages sont amenés à évoluer, c’est toute l’alimentation qui est à adapter. Un nouveau fourrage signifie-t-il un repas supplémentaire ? Est-il destiné à une partie de l’année seulement ?Dans quel ordre va-t-on être amené à distribuer les éléments humides et secs ?
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