UGVC
Un mécanisme d'adaptation pour tempérer la crise
Les réunions de secteur de l'UGVC ont débuté le 10 février pour présenter le mécanisme d'adaptation du vignoble validé par l'INAO quatre jours plus tôt. Des rencontres sous tension face à une crise qui inquiète profondément le monde viticole.
Les réunions de secteur de l'UGVC ont débuté le 10 février pour présenter le mécanisme d'adaptation du vignoble validé par l'INAO quatre jours plus tôt. Des rencontres sous tension face à une crise qui inquiète profondément le monde viticole.
![Le nouveau mécanisme doit permettre aux viticulteurs de garder une production d'eau-de-vie constante avec des coûts de production moindres via l'arrachage d'une partie de leurs vignes.](https://medias.reussir.fr/caracterres/styles/normal_size/azblob/2025-02/c839caf36ba765d39caf36ba73149cv_.jpg?itok=aBSW8Lq5)
![Le dispositif est volontaire et temporaire (des droits de replantation sont acquis à l'issue de l'arrachage), avec une limite haute fixée à 12 hL AP/ha afin d'éviter les abus.](https://medias.reussir.fr/caracterres/styles/normal_size/azblob/2025-02/300a8475cda76240a8475cda7f70a8v_.jpg?itok=a_59LPjn)
Si les chaises vides ne sont pas rares lors des réunions professionnelles agricoles, elles manquaient très largement lors de la réunion organisée par l'UGVC ce lundi 10 février à Gémozac. Plus de la moitié des participants n'ont pu trouver une place assise (certains ont même dû rester à l'extérieur), et une atmosphère étouffante s'est vite installée dans la salle. Symbole de l'inquiétude qui traverse la filière cognac ?